pour mieux comprendre le fonctionnement du dac, il faut imaginer la sortie du dac à la masse.
dans ce cas tous les courants circulant à travers sw1,Sw2,sw3,etc... s'ecoulent sans difficulté et s'additionnent convenablement.
quand la conversion courant/tension est faite activement par un aop, celui-ci simule une abscence de résistance entre la sortie du dac et la masse du circuit.
on fait son petit circuit et pour un signal donné, il doit au moins présenter une faible resistance pour le dac vers la masse.
maintenant en fonction des composants utilisés (tubes,transistors, aop), le rapport entre les tensions d'alimentation (fixes) et les tensions des signaux (variables) sera différent.
plus on réduit la taille d'un circuit et plus la frequence des signaux qui le traversent peut être augmentée.ce qui est particulièrement sensible pour un cicuit intégré (cf la loi de moore qui illustre ce phénomène pour les microprocesseurs).cela peut être un avantage comme un inconvénient.
si on utilise une solution passive, on a pour inconvénient d'introduire une resistance, mais on peut aussi filtrer avant que le circuit ne se complexifie.
on peut aussi jouer sur la frequence d'echantillonage en utilisant des algorithmes plus ou moins justes pour calculer des frequences d'echantillonage superieures.
les performances des processeurs et des dac ont beaucoup evolués.
il serait peut être interessant d'avoir quelques logiciels libres pour explorer tout cela.
(pour ceux a qui le logiciel libre ne dit pas grand chose, je vous conseille la lecture de ce livre:
http://www.framabook.org/docs/stallman/framabook6_stallman_v1_gnu-fdl.pdf)
hervé