bimole a écrit:
Soustracteur, ça dépend de la sortie : si on utilise le Schmitt en ampli diff classique, on récupère tantôt la somme tantôt la différence suivant l'anode.
JB
T'es sur, c'est pas plutôt a-b sur l'une et b-a sur l'autre....
Pour le Gm je te suis. Les Gm ne jouent pas sur la symétrie mais sur le gain global. Hors, leurs variations (en sens inverse) doivent de compenser mais si ce n'est pas le cas, le gain global varie au cours du cycle -> disto !
De plus, bien que à priori très faibles, ces H paires en phase ajoutées par l'inverseur (c'est la propriété des H paires, sinon, elles sont impaires) sont annulées par le PP (les H paires du signal d'origine sont obligatoirement en opposition de phase donc non affectées, qu'on se le dise). Cela revient à ce que disait Yves : Si les tubes du PP n'ont pas le même gain, çà annule plus...
Pour Trappeur, oui, c'est bien en ce sens que le PP est soustracteur, tout comme un ampli différentiel d'ailleurs.
Branche 1 -> Ia = Ta(Ve) = a1*Ve + a2 * Ve² + .... (Ta = Transfert de la branche a)
Branche 2 -> Ib = Tb(-Ve) = -b1*Ve + b2 * Ve² + ....id branche b
Soustraction = Ia-Ib = (a1+b1) * Ve + (a2 - b2) * Ve² + ....
Donc gain = a1 + b1 et l'h2 réduite puisque * (a2 - b2) voir annulée si a2 = b2.
Il en est de même pour les termes qui suivent....H3, H4...etc
Si Ta et Tb sont identiques, a1 = b1 et a2 = b2...etc. et les H paires (générée par les non linéarité des tubes de chaque branche) s'annulent.
Conclusion :
L'inverseur de Schmitt à CCS est peu générateur de problèmes.
Les écarts de gain et anomalies de transfert du PP sont plus pénalisants et difficiles à compenser

. de plus, en cas de déséquilibre, les défaut ajoutés par le Schmitt vont ressortir.
Pascal.